La digitalisation des entreprises n’est plus une option : elle est devenue une nécessité stratégique pour rester compétitive dans un marché en constante évolution. Que vous dirigiez une TPE ou PME, un atelier industriel ou un site de production, la question n’est plus “Faut-il digitaliser son entreprise ?” mais « comment réussir cette transformation numérique en impliquant vos équipes ? »
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Le secteur du thermolaquage vit une profonde transformation. Les entreprises, les clients industriels, les architectes et l’ensemble des parties prenantes attendent désormais bien plus qu’un traitement de surface de qualité. Ils exigent de la transparence, une démarche RSE solide, un suivi fiable des données environnementales et la capacité à prouver l’impact réel des actions menées.
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Dans un contexte industriel exigeant, où la qualité, les délais et la résistance à la corrosion sont devenus des critères majeurs, chaque entreprise de traitement de surface doit optimiser en continu ses processus. Entre la hausse du prix des matières, la réduction des marges et la complexité des procédés (sablage, grenaillage, thermolaquage, anodisation, galvanisation, revêtement anticorrosion…), la gestion quotidienne devient un défi pour tout acteur du secteur.
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Dans une entreprise de thermolaquage, le choix d’un logiciel de gestion pour piloter la production, les commandes ou la facturation n’est jamais anodin. Beaucoup de dirigeants commencent avec Excel ou des outils généralistes, avant de réaliser qu’ils passent plus de temps à corriger des erreurs qu’à piloter leur activité. Ce risque augmente avec la croissance de l’entreprise et la multiplication des tâches répétitives.
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Vous gérez encore vos commandes sur Excel ? Si oui, vous n’êtes pas seul. La majorité des entreprises de thermolaquage ont commencé comme ça : un tableau bien construit, quelques formules, des onglets par client… et la conviction que c’est suffisant pour piloter l’activité.
Mais au fil du temps, les choses se compliquent. Les commandes se multiplient, les délais se resserrent, les clients demandent plus de réactivité, et les fichiers deviennent lourds, imprécis, parfois même sources d’erreurs. Un simple oubli de mise à jour ou une mauvaise formule, et c’est toute la production qui peut être décalée.
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Dans de nombreux ateliers de thermolaquage, la comptabilité est encore souvent gérée avec des tableurs Excel, des logiciels non adaptés au métier ou un facturier papier.
Souvent, les factures sont enregistrées dans différents dossiers, ce qui complique le processus de gestion : perte de temps pour retrouver et saisir les factures, les devis ou les bons de livraison, risque d’erreurs de saisie, retards de paiement, surcharge administrative, etc.
Pourtant, la facturation automatisée n’est pas réservée aux grands comptes. Aujourd’hui, elle est accessible à tout type d’entreprises et avec un bon outil, elle est assez simple et rapide à mettre en place.
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Chez COOCKPIT Thermolaquage, nous le constatons tous les jours : beaucoup d’entreprises de traitement de surface fonctionnent encore « à l’ancienne », c’est-à-dire avec un suivi de la comptabilité sur Excel, une gestion des stocks et de la facturation sur papier et la gestion des échanges clients et fournisseurs par e-mails. Or, ce mode de fonctionnement n’est plus adapté aux réalités actuelles : délais plus courts, clients plus exigeants et volumes plus importants.
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À compter du 1er septembre 2026, toutes les entreprises devront émettre des factures électroniques. Cette nouvelle règle entrera en vigueur en France dans moins d’un an et toutes les entreprises assujetties à la TVA, y compris les PME industrielles, doivent s’y préparer dès maintenant pour amorcer leur transition vers ce nouveau mode de facturation.
Vous voulez aborder cette transition en toute sérénité ? Et s’il suffisait de choisir le bon logiciel de gestion des stocks et de facturation ?
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La peinture poudre, aussi appelée revêtement par poudre, s’impose comme l’une des solutions les plus performantes et durables pour protéger les surfaces métalliques. Contrairement à la peinture liquide, elle est appliquée par projection électrostatique puis durcie au four, formant un film homogène et résistant.
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La gestion d’un atelier de thermolaquage est loin d’être simple. Elle s’apparente à un véritable projet d’entreprise : il faut coordonner les équipes, suivre chaque étape de la production, anticiper les imprévus, gérer les stocks et assurer les livraisons dans les délais.